DYSLEXIE POUR TOUS

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  • Editions Zetoolu

    Img 103Zétoolu est une petite maison d'éditions de Nantes. Elle propose des livres destinée aux enfants de 2 à 12 ans.

    Cette collection s'adresse aux enfants dyslexiques et allophones mais aussi à tous ceux qui rencontrent des difficultés dans l'apprentissage de la lecture.

     

    Je m'y suis donc intéressée car j'aime les livres et je sais qu'il en est de même pour mes abonnés et leurs enfants.Wink 98461 480 En visitant le site, j''ai découvert une très jolie collection, qui je pense, vous plaira.

     

    Elle se compose de 13 ouvrages. Vous y trouverez :

    - 4 albums pour les 2/8 ans,

    - 4 livres de poche pour les bons lecteurs de 8/12 ans,

     -5 livres cahiers de 6/12 ans.

     

    Deux ouvrages sont bilingues Français-Anglais. J'en ai commandé un pour ma fille. Bon, je sais, elle va sur 19 ans, mais je souhaite améliorer son niveau d'Anglais ! Smiley 304294 480  Je ne désespère pas !!!!!!!                                                                                                        

    Ce petit livre destiné aux enfants de 2 à 8 ans est en papier glacé de très belle qualité. La couverture est souple et permet une bonne prise en main.  

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    Les interlignes sont larges. La ponctuation et les premières lettres de chaque phrase sont mises en valeur par une couleur différente de celle du texte. Entre chaque mot, des espaces plus prononcés. Cela offre indéniablement un bon confort de lecture. L'écriture est très agréable et fluide. Le vocabulaire est riche. L'histoire est écrite en Anglais puis traduite en Français. 

     

     

    Les illustrations sont très jolies. 

    Img 0104 1 1                           Img 106            

     

     A la fin du livre, une interview est consacrée à l'auteur et l'illustrateur. Je trouve cela très sympa et donne un petit côté intimiste au livre. 

    Ces ouvrages ont un tarif unique très raisonnable de 5,50 euros. Point très positif pour notre porte monnaie.

    Vous pouvez vous les procurer :

    - dans les librairies suivantes de Loire Atlantique si vous y résidez :

                                 - à Ancenis chez PLUME ET FABULETTE,

                                 - à Nantes  chez COIFFARD JEUNESSE et DURANCE MEDICALE,

                                  - à Orvault chez LA SADEL

                                  - à Saint philibert de Grand Lieu chez LES MOTS DOUX

                                  - mais aussi en Maine et Loire à  Angers  chez LA SADEL

     

    - en commandant sur le site ZTL https://www.ztl-editions.fr/. Pour chaque commande, un marque page en cadeau dans l'ouvrage.

     

    - auprès des enseignes Leclerc Cuture et Cultura. Il les commande à la demande.

     

    Ces petits livres peuvent très bien intéressés nos enseignants de la maternelle et du primaire. 

      

    Pour avoir échangé un petit peu avec Sandra, créatrice de cette maison d'édition et elle même dyslexique, je ne pense pas me tromper en vous disant qu'elle exerce son métier avec beaucoup de passion.

      

    Si vous souhaitez développer le goût de la lecture à votre enfant, si vous êtes comme moi sensibilisés à l'achat 100% français et local et bien n' hésitez pas. En effet, les différents artistes impliqués dans l'élaboration de ces livres sont locaux. Pour celui que j'ai commandé, deux jeunes étudiants sont à l'origine de ce livre.

     

    Lorsque ma fille était petite, je souhaitais lui faire découvrir le goût de la lecture. Ce fut un défit ! Nous avions bien des difficultés à trouver des livres qui lui convenaient. Elle en souhaitait des illustrés, écrits en gros caractères et pas trop épais. Nous aurions aimé trouvé de tels ouvrages. Elle adore désormais lire, et j'en suis ravie. Mais ce ne fut pas facile.

    Quand une petite maison d'éditions se propose de nous accompagne dans cet apprentissage, on ne peut que s'en féliciter et encourager ce type d'initiative. Alors profitez en et bonne lecture !!

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • A vous parents !

    Lorsque la rentrée des classes approche, La plupart des élèves sont heureux de retrouver leurs copains et copines. L'année se déroulera sans encombre pour la majorité d'entre eux. Mais pas pour tous.

     

    Parmis ces élèves, nos enfants. Leur particularité ? Etre dyslexiques. Peut-être retourneront-ils en cours avec une certaine appréhension ? Ils savent que cette nouvelle année scolaire ne sera pas de tout repos, comme toutes les précédentes d'ailleurs. Ils devront affronter des incompréhensions, des jugements trop hâtifs, accepter que leurs résultats scolaires ne soient pas toujours à la hauteur des efforts fournis.

     

    Comme pour chaque rentrée des classes, vous parents, vous vous démènerez pour la réussite de votre enfant. Vous entreprendrez toutes les démarches nécessaires pour que cette nouvelle année se déroule sous les meilleurs hospices.

     

    Vous mettrez en place un PAP ou PPS afin de permettre à votre enfant d'être soutenu tout le long de l'année. 

     

    Vous rencontrerez les enseignants pour leur expliquer ses difficultés  et l'importance de l'application du plan d'accompagnement.

      

    Vous l'accompagnerez à ses cours d'orthophonie, vous lui ferez effectuer divers bilans.

     

    Vous le seconderez dans ses devoirs. Et ce n'est pas un vain mot !!!! 

     

    Vous l'encouragerez car il se démoralisera régulièrement.

     

    Vous remuerez ciel et terre pour qu'il s'épanouisse au mieux dans un système éducatif qui ne lui convient pas. 

     

    Toutes ces intiatives vous demanderont beaucoup d'énergie. Mais vous avez foi en votre enfant. Vous avez raison. C'est ainsi que vous avancerez.

     

     

    Grâce à toutes ces démarches, vous préserverez la confiance et l'estime de votre enfant. Vous l'aiderez à progresser, à se sentir bien. Tous vos efforts seront un jour récompensés. N'en doutez pas. Il me semble essentiel de vous le rappeler. 

     

                                             

  • Un témoignage d'espoir

                                                                   

    Voici le témoignage positif et encourageant d'une maman reçu il ya quelques jours. Il relate le parcours difficile de son fils au cours de toutes ses années de scolarité. Sa perception d'accompagnement concernant nos enfants est identique à la mienne. J'en suis donc ravie. C'est d'ailleurs, le message que je tente de vous transmettre à travers mes petits billets. Notre vision permet à nos enfants d'améliorer leur parcours et de réussir.  Alors oui, c'est difficile, oui, nous sommes confrontés à de nombreux obstacles, oui  cela nous demande beaucoup  d'investissement et de travail personnel.  Mais c'est possible.  Et quel bonheur quand les résultats sont là ! 

     

    MENTION BIEN AVEC + DE 15 DE MOYENNE. Alexandre a eu son bac, cela peut paraître anodin, pourtant c’est bien plus qu’un diplôme,ne sachant ni lire ni écrire,c’est une victoire que tout le monde pensait impossible il y a 10 ans. On en a fait tomber des barrières chaque année pour avancer. Oui, tout le monde ne rentre pas dans le moule de l’éducation nationale, alors c’est à nous parents de faire le nécessaire pour que l’éducation nationale s’adapte. En cela je remercie tout particulièrement les professeurs sensibilisés à ce lourd handicap qu’est LA DYSLEXIE, DYSHORTHOGRAPHIE. Tous l’ont toujours encouragé. Je remercie aussi Monsieur Beckrich du lycée Marius Bouvier qui l’a totalement épaulé durant 3 ans. Ensemble ils ont développé cette capacité incroyable qu’a Alexandre à lire des schémas, des plans, à démonter, réparer, ce qui lui a permis de si bien réussir. Monsieur Beckrich l’avait choisi pour représenter le lycée devant le préfet pour son parcours scolaire exemplaire, en raison de sa ténacité et sa volonté de réussir. Choisi aussi pour valoriser l’enseignement professionnel qui est injustement boudé par les parents. Oui, tous les enfants ont un talent qu’il faut exploiter. Toutefois, il ne faut pas se cacher derrière ses difficultés. La seule solution est de travailler, travailler, travailler bien plus que la normale. Ne compter pas que sur les orthophonistes ou les AVS, c’est d’abord aux parents de trouver des solutions. Cela fait 10 ans que je passe mes soirées, week-end à refaire les cours, à chercher des documentaires pour faire comprendre l’histoire, à faire des travaux pratiques pour apprendre les mathématiques. Oui, nous sommes fiers, car sans modestie, Alexandre est un exemple de courage pour tous les enfants qui ont une dyslexie sévère. Aujourd’hui, il sait très bien ce qu’il veut, où il veut aller. Il a choisi un BTS en alternance, de prendre son envol, avoir son appartement. On espère lui avoir donné de bonnes racines et des ailes pour ces prochaines années et il pourra toujours compter sur nous.

    FELICITATIONS MON GRAND !!!

  • Résultats du Bac !

                                               

    Ma fille Inès est admise à son bac avec mention bien. Nous sommes très heureux et extrèmement fiers d'elle. C'est un    beau pied de nez à tourtes ces années difficiles !!!!   De plus, elle intègre en septembre le BTS NRC qu'elle souhaitait.

     

    Quelque soit le parcours de votre enfant, n'oubliez pas que l'essentiel est sa finalité. 

                                                     

    C'est  un message d'espoir que je  souhaite vous transmettre à travers cette bonne nouvelle. Car je sais le soucis que vous pouvez vous faire quant à l'avenir de vos enfants.

     

    Et surtout, croyez en eux ! C'est une des clés de la réussite !

     

     

  • Découvrir les métiers manuels

     

    Comment permettre à nos enfants de découvrir les métiers manuels ?           

                                                      

    Et bien, "l'outil en main" peut-être une solution.

     

    Il s'agit en fait du nom d'une association. Je l'ai découverte il y a quelque temps en regardant une émission la concernant. Et j'ai trouvé cela super !

     

    S'orienter dès l'âge de 14-15 ans n'est pas chose facile pour de nombreux adolescents.   

     

    L'objectif de cette association est de permettre aux jeunes de 9 à 14 ans qui le souhaitent, de découvrir et s'initier aux métiers manuels. Ils assistent à des ateliers et sont encadrés par des artisans et ouvriers qualifiés à la retraite.

     

    Sont concernés de nombreux domaines tels que les métiers du bois, de l'électricité, du bâtiment, de la bouche, du cuir, de la mécanique, de la mode, et j'en passe.

     

    Il existe 187 associations  à travers toute la France.

     

    Voici une jolie façon de faciliter l'orientation de nos enfants !

     

    Si vous êtes intéressés, voici le lien : http://www.loutilenmain.fr/

  • BTS : infos langues étrangères

                                                                     
    Ma fille est en Terminale Professionnelle Vente. Elle est admise en BTS NDRC. (Négociation et Digitalisation de la relation client).  Nous sommes très contents et fiers d'elle.  

     

    Elle vient de passer ses oraux de langues pour le Bac. L'Espagnol s'est très bien déroulé. L'Anglais, une vraie catastrophe. Elle aura 1 ou 2 !!!!!!!  La seule chose qu'elle répondait : "I don't know". Elle est ressortie complètement catastrophée comme vous pouvez l'imaginer. Et dieu sait qu'elle a travaillé pour éviter la casse. En plus, la prof pas très sympa, qui en rajoute une couche à la fin de l'oral !!!! Comme si ma fille avait besoin de cela !!! Enfin bref.  Il lui reste encore une semaine d'épreuves à passer à partir du 18 juin. ça bosse, ça bosse.

     

    Comme j'en ai marre d'envoyer ma fille au casse pipe en Anglais, je me suis renseignée pour le BTS. A savoir, si l'Espagnol qui est actuellement sa deuxième langue, pouvait se tranformer en première langue.

     

    Voici la réponse que l'on m'a transmise. Alors, attention, ce n'est jamais simple dans l'Education Nationale.

     

    Pour certains BTS, l'étudiant peut opter pour une ou deux langues, la deuxième langue étant facultative.

    Cependant, l'Anglais  reste obligatoire.  Donc, si elle prend l'Espagnol en première langue, elle est obligée de prendre l'Anglais en deuxième langue.

    Par contre, si elle prend l'Anglais en première langue, elle n'est pas obligée de prendre une deuxième langue.

    A savoir que la première langue a un coefficient de 3 et la deuxième un coefficient de 2.

     

    Ma fille souhaitait prendre  uniquement l'Espagnol. Eh oui, les langues ne sont pas sa passion. Vous vous en doutez ! Et bien ce n'est pas possible. Même pour une élève dyslexique. Elle doit continuer d'apprendre l' Anglais ce qui est complètement absurde, car elle n'y arrive pas , et n'a de surcroit aucun niveau. Nous sommes  donc face à un mur, comme d'habitude. ça m'énerve, mais ça m'énerve !!!!!!  

     

    Conclusion, nous avons décidé qu'elle garderait l'Anglais en première langue.  On ne sait jamais, qu'un miracle se produise !!!  Et Comme à l'accoutumé, maman l'aidera en Anglais. Comprenez, elle fera ses devoirs.  !!  Mais bon, je n'assiterai pas à l'oral de 30 mm qu'elle devra présenter. Donc c'est certain elle va échouer ! Pour ne pas dire autre chose, car je suis polie.  Bon, je sais, elle compensera avec d'autres matières.

     

    Sachez aussi que depuis cette année, les dossiers de nos enfants ne sont plus étudiés en priorité. Petit avantage disparu.

     

    Les années passent et je trouve que tout cela ne va pas dans le bons sens. C'est si difficile de faciliter un tant soit peu la vie de nos enfants dont l'envie est de réussir ? Il faut le croire. Alors quand j'entends nos politiques parler d'égalité des chances, belle utopie ! Car la réalité du terrain est toute autre.

     

     

     
     

     

     

     

     

     

     

     

  • Infos pour aménagements d'examens

                                                                             

    J'ai lu à plusieurs reprises que la MDPH refusaient la mise en place des aménagements d' examens. Je n'en connais pas les raisons.

    Attention toutefois de ne pas faire votre demande d'aménagement à la dernière minute.  C'est certain que votre demande sera refusée. Est-ce peut-être là que réside le problème ?

    En effet, vous avez un délai à respecter. Tout doit être mis en place deux mois avant le début des épreuves. Si vous faites votre demande en mars, ce sera beaucoup plus compliqué d'obtenir une réponse favorable, car il faut du temps pour tout cela. J'ai tout effectué l'année dernière pour ma fille. Ses aménagements ont été acceptés.  

    Anticipez c'est primordial, n'attendez pas la dernière minute. L'idéal est de faire votre demande en début d'année scolaire, lorsque vous mettez en place le PAP ou  le PPS. Et soyez persuasif !

    Ci joint le lien du billet "aménagements d'examens" pour plus de renseignements :  http://heleneh71.e-monsite.com/pages/amenagements-d-examens.html

  • Est-ce toujours la faute des profs ?

    Comme de nombreux parents, j'ai parfois fulminé contre l'Education Nationale concernant la prise en charge de ma fille. Il faut le reconnaître, ce n'est pas simple de confier nos enfants, dont les difficultés sont complexes et multiples à des personnes qui n'ont souvent que quelques vagues connaissances sur le sujet. Mais voilà, nous n'avons pas d'autres options. Il existe bien quelques Etablissements Privés, mais onéreux.

     

    Toutefois, si nous avions vraiment le choix, accepterions nous, parents, que nos enfants soient intégrés dans une classe adaptée à leurs difficultés ? En ce qui me concerne, oui ! Comme j'aurais aimé que ma fille reçoive un enseignement spécifique. Cela nous aurait occasionné beaucoup moins de stress, de fatigue, de travail, d'émotions négatives, une vie plus sereine.

     

    Comme vous tous, nous avons rencontré des enseignants hostiles à la dyslexie. Mais pas que. Certains méconnaissaient le sujet et faisaient cependant de leur mieux. D'autres, en revanche, le maitrisaient  et l'année se déroulait merveilleusement bien. Bon, c'est vrai, ce n'était pas la majorité ! Nous avons eu aussi une enseignante qui avait suivi une formation sur la dyslexie. On s'était dit super ! Et bien, elle fut la plus intransigeante de tous. Comme quoi ! 

     

    Lors de ma dernière rencontre "parents-professeurs", je m'étais donnée la mission de sensibiliser les professeurs sur la dyslexie. Je fus contente de constater qu'ils étaient très interessés par le sujet. N'est-ce pas les petits ruisseaux qui font les grandes rivières ?

     

    Je suis consciente de la complexité d'enseigner à nos enfants. Ils demandent une pédagogie spécifique et du temps que les enseignants ne peuvent donner dans le système tel qu'il est. Et oui, impossible d'adapter le programme de la classe en fonction des troubles d'apprentissage d'un ou deux enfants .

     

    Lorsque j'échange avec des parents, ils sont nombreux à estimer qu'il s'agit d'un droit pour leurs enfants de suivre le même cursus que les autres élèves. Cela part bien sûr d'un bon sentiment. Reconnaissons tout de même que ça ne fonctionne pas très bien, à moins de troubles d'apprentissage légers. Cela engendre chez nos enfants une surcharge de travail, du surmenage, du stress, des résultats en dent de scie entraînant une mauvaise estime de soi. Le bilan est loin d'être positif. Il n'y a qu'à lire les témoignages de parents pour s'en rendre compte. Tout le monde galère : parents, enfants, enseignants. Rien de bien satisfaisant dans tout cela.

     

    Que des enfants surdoués soient regroupés dans une même classe nous semble normal. Alors pourquoi ne pas le faire avec des enfants dys et utiliser une pédagogie adaptée avec des enseignants formés et sensibilisés ! Cela ne les empècherait pas de s'ouvrir aux autres. En fait, cela leur permettrait d'être plus épanouis et sereins. Je reste persuadée que si la vision des parents change (c'est-à dire qu'ils acceptent vraiment les difficultés de leur enfant et donc la nécessité d'un enseignement spécifique),  et bien l'Education Nationale suivra. 

     

    Lorsque j'ai appris la dyslexie de ma fille, ses difficultés étaient telles, que j'ai cessé de travailler pour la prendre intégralement en charge. Je savais que toutes les aides "mécaniques" mais nécessaires resteraient insuffisantes. Nos enfants ont besoin d'un soutien constant. Je n'ai jamais trop attendu des autres. Mais c'est vrai, tous les parents n'en n'ont pas la possiblité.

     

    En conclusion, sous prétexte de l'égalité des droits et des chances, nous scolarisons nos enfants dans des établissements dont la formation des enseignants ne correspond pas aux besoins spécifiques de nos enfants. Et l'on se demande pourquoi ça ne marche pas !

     

    Alors, en demandons nous de trop aux enseignants pour que nos enfants intègrent le moule de la normalité ?